Qu'adviendrait-il s'il fallait être ministre pour s'exprimer sur la politique ?
D'autre part, je ne me prononce pas sur la médecine mais sur les pseudo-médecines et leurs conséquences.
De toutes façons, ce qui compte, c'est la valeur de ce qui est dit, ce n'est pas QUI le dit. L'argument d'autorité et le paravent du diplôme ne sont en aucun cas une garantie.
Enfin, c'est justement parce que je ne suis pas médecin que je puis m'exprimer sans risque. Si je l'étais, je pourrais être sanctionné par le Conseil de l'Ordre pour "manque de confraternité" par
rapport à mes collègues pratiquant les pseudo-médecines.
Rassurez vous beaucoup de médecins approuvent ma démarche et me le font savoir.